Une grande première pour Valentine Caporale
Ce jeudi à l'aula du CO de Bulle, l'influenceuse geneveoise donne une conférence "Au-delà des limites". Interview.
À quelques heures de sa première conférence, Valentine Caporale, l'influenceuse genevoise qui compte plus de 150'000 abonnés, est stressée. Mais selon elle, c'est du bon stress. Elle se dit impatiente de rencontrer le public bullois.
Frapp: Conférencière pour TEDx à Bulle, un nouveau challenge?
Valentine Caporale: Oui, c'est ma première expérience du genre même si j'ai déjà eu l'occasion de prendre la parole en public. Mais je n'ai jamais donné de conférence! Par rapport à ce que j'ai l'habitude de faire, que ce soit à la radio, à la télé ou sur les réseaux sociaux, j'aurai cette fois-ci un public en face de moi. C'est stressant, mais ça amène quelque chose d'hyper intéressant, car je vais pouvoir détecter des réactions.
Frapp: Quel est votre état d'esprit à quelques heures de monter sur scène?
VC: Un peu stressée, même très stressée, mais c'est un bon stress! J'aime me lancer des challenges et aller au-delà de mes limites. Là, clairement, c'est un vrai défi. J'ai hâte!
Frapp: Quels sont les sujets que vous allez aborder?
VC: La thématique de ce TEDx est "Au-delà des limites". Ça m'a assez rapidement inspirée. Je me suis d'ailleurs demandé à quel moment dans ma vie je m'étais dépassée et surtout comment j'avais fait. Je suis quelqu'un d'assez timide et qui aime bien avoir un cadre. Pour ça, je suis très Suisse! Je vais également parler de la plus grosse limite que j'ai franchie. Je ne pensais pas en être capable. Pourtant, j'ai été au-delà et heureusement. Ma vie a complètement changé depuis.
Frapp: Ce sera votre première fois à Bulle?
VC: Je dois vous avouer que je connais très peu la ville de Bulle. J'ai développé une vraie passion pour la meringue et la double crème depuis que mon papa nous en ramenait lorsqu'il faisait son service militaire dans la région. Je suis aussi fan de Giger depuis mon plus jeune âge. J'ai visité plusieurs fois son musée. La dernière fois, c'était il y a une année. Je trouve qu'il fait bon vivre à Fribourg.


