Une équipe de Suisse confiante avant le championnat du monde

La confiance est de mise au sein de l'équipe de Suisse avant son entrée en lice dans le championnat du monde 2025.

Capitaine de l'équipe de Suisse, Nico Hischier affiche sa confiance avant le championnat du monde © KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI

Le coach Patrick Fischer et le capitaine Nico Hischier ne cachent pas leur optimisme à la veille du duel face à la Tchéquie.

Patrick Fischer a annoncé une première décision, mais il n'en a pas (encore) dévoilé d'autres: vendredi dès 16h20, la Suisse alignera sept défenseurs et treize attaquants dans le "remake" de la finale 2024 remportée par les Tchèques.

Deux places restent encore disponibles. Et trois joueurs devront prendre place dans les tribunes, du moins dans un premier temps. Fischer a déterminé lesquels, mais il n'annoncera ces décisions que vendredi après-midi. Aucune information n'a par ailleurs été donnée concernant l'attaquant des L.A. Kings Kevin Fiala, qui se trouvait toujours en Californie jeudi et dont la venue reste possible.

Hischier nommé capitaine

Ce que l'on sait en revanche, c'est que Nico Hischier sera le capitaine de cette équipe, une fonction qu'il occupe chez les New Jersey Devils, et que l'éternel Andres Ambühl (41 ans) sera l'un de ses assistants.

"C'est un grand honneur, c'est un truc cool", se réjouit Nico Hischier. Mais le centre haut-valaisan tenait à souligner, après l'entraînement final de jeudi à Herning, que "nous avons tellement de leaders dans cette équipe et pas de hiérarchie. Chacun dit ce qu'il veut, je trouve ça cool."

Hischier est ravi d'entamer ce Mondial face aux Tchèques, alors que la Suisse a commencé ses derniers Mondiaux contre des outsiders. "De toute façon, il n'y a pas de premier match facile", glisse-t-il. "C'est certainement une très bonne équipe, ce sera intense. Mais si nous livrons la marchandise, nous aurons une chance."

Le succès 5-3 obtenu dimanche dernier à Brno face aux Tchèques dans le cadre du Euro Hockey Tour n'a que peu d'importance. "En fait, cette victoire n'a déjà plus aucune valeur", admet Patrick Fischer. "Cela nous a simplement montré plusieurs choses, mais c'est également le cas pour les Tchèques."

ATS
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